Communiqué de Presse
CELEBRATIONS DU 58e ANNIVERSAIRE DE L'AUTONOMIE ET DU 56e ANNIVERSAIRE DU STATUT SPECIAL
Dimanche prochain, 29 février, à Aoste
Le 58e anniversaire de l’Autonomie et le 56e anniversaire du Statut spécial seront célébrés dimanche prochain, 29 février, à Aoste.
La cérémonie officielle se tiendra à 19h, dans la salle des manifestations du Palais régional, avec les allocutions du président du Consortium des collectivités locales M. Diego Empéreur, du président du Conseil de la Vallée M. Ego Perron, du président du Conseil national de la Principauté de Monaco M. Stéphane Valeri et du président de la Région M. Carlo Perrin.
A 21h, la Cathédrale d’Aoste accueillera le « Concert pour l’autonomie » du baryton Bruno Praticò et du Chœur et Orchestre Emile Chanoux sous la direction de Aldo Tarchetti. Le programme du concert nous propose de partir à la découverte des étapes les plus importantes de la musique d’inspiration religieuse de différentes époques, illustrées par un choix de mélodies d’une extraordinaire envergure sonore qui vont de la période baroque jusqu’à nos jours. Bruno Praticò, baryton de renommée internationale, est né à Aoste : c’est pour lui une occasion de se produire dans sa ville natale avec l’exécution de « Pietà, Signor » de A. Stradella, « Ave Verum K. 618 » de W.A. Mozart, « O mio Signor » de G.F. Haendel, les « Ave Maria » de F. Schubert, de C. Gounod et de G. Rossini, ainsi que le « Panis Angelicus » de C. Franck.
Samedi 28 février, à partir de 21h, au Palais de Saint-Vincent, dans le cadre de la Saison Culturelle 2003/2004, aura lieu la cinquième édition du « Concert pour l’autonomie », animée par les groupes musicaux valdôtains.
«La fête de l’autonomie et du Statut spécial de la Vallée d’Aoste – a souligné le président de la Région Carlo Perrin dans son message aux Valdôtains – coïncide cette année avec le 60ème anniversaire de la mort d’Emile Chanoux. La pensée de Chanoux a profondément influencé et marqué l’action politique de l’après-guerre, au moment même où les bases de l’autonomie valdôtaine s’esquissaient. Ses idéaux ont inspiré le parcours à entreprendre : un parcours qui se voulait centré autour du particularisme linguistique et culturel de notre région, autour du droit à s’autogouverner sur la base du principe de subsidiarité, autour du respect de la personne comme citoyen actif capable d’assumer des responsabilités. Ce sont les piliers de notre autonomie et, de nos jours plus que jamais, deviennent un patrimoine partagé au niveau politique, mais aussi économique et social ».
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